Ressources du nord
juillet 6, 2020
6 juillet 2020
Une femme vivant dans une communauté éloignée du Nord s’est plainte auprès de notre Bureau que son petit-fils, atteint de troubles du spectre de l’alcoolisation fœtale (TSAF), avait été exclu de l’école pendant quatre mois en raison de ses comportements violents grandissants.
Une femme vivant dans une communauté éloignée du Nord s’est plainte auprès de notre Bureau que son petit-fils, atteint de troubles du spectre de l’alcoolisation fœtale (TSAF), avait été exclu de l’école pendant quatre mois en raison de ses comportements violents grandissants. Quand l’enfant a été autorisé à retourner à l’école, il ne lui a été permis d’y aller que deux heures par jour, quatre fois par semaine.
Notre Bureau a communiqué avec des responsables à plusieurs niveaux dans ce cas, dont le ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires (qui finance le personnel spécialisé en TSAF dans les communautés du Nord), le ministère de l’Éducation et le centre local de traitement des enfants, ainsi que l’école de l’enfant.
Les responsables de l’école nous ont informés qu’ils avaient engagé un assistant en éducation pour l’enfant, et qu’ils avaient fait évaluer officiellement ce dernier par le programme de télépsychiatrie de l’Hôpital pour enfants malades. Le centre a organisé une ergothérapie régulière pour cet enfant, qui a commencé à rencontrer régulièrement un travailleur spécialisé en TSAF. Ce travailleur a aidé la grand-mère à demander des fonds pour des soins à domicile. Après nos demandes de renseignements, l’enfant a aussi été inscrit sur une liste d’attente pour obtenir des aides supplémentaires par le biais du fournisseur local de services d’aide à l’enfance. Nous continuons à faire le suivi de ce cas avec les deux ministères et les différents organismes concernés.
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